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 Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)

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- Abygail Hans -

Abygail Hans
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MessageSujet: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 19:19



Abygail Hans
ft. Emily Clarke

Derrière l'écran

pseudo : UniCurly

âge :20 rondelles de citrons et quelques pépins en trop

scénario ou inventé ? S [] I [X]

comment avez-vous connu le forum ? Grâce à un petit pingouin #E

comment le trouvez-vous ? Sublime <3

autre chose à ajouter ? Vives les licornes
Qui je suis

nom : Hans
prénom : Abygail
surnom(s) : Petit Soldat, Ab, Aby
âge du personnage : 25 ans
nationalité d'origine : Finlandaise
situation familiale : A perdu sa famille
occupation : Contrebandier
localisation actuelle : Praha
groupe : Be Different
qualités :Loyale, Franche, Stratège, Ingénieuse, ne supporte pas l'Injustice, Altruiste, Adaptative
défauts : Solitaire, Psychotique, Froide, Asociale, Violente, Sensible de la gachette, facilement Ennuyée




Dans ma tête

En construction

Hantée

Bouge. Je sais pas moi, cours, saute, fais une roulade, danse la macarena mais bouges de là ! Impossible. Mon corps ne répond pas aux signaux alarmants que je lui envoies. Et pourtant, c'est vraiment pas le moment. Y'a ce putain d'immeuble qui est en train de se casser la gueule juste devant moi et, bingo, il tombe vers ma gueule. Allez, Aby, bouge ton gros cul à moins que tu veuilles devenir une omelette. Remarque, c'est peut-être cool la vie d'une omelette. Non, non, non, c'est pas le moment d'être sarcastique, MAIS DEGAGE DE LA ! Ça y est, enfin mes muscles ont décidé de se réveiller et je peux enfin entamer un sprint en dehors de la trajectoire de la structure en béton. Le voilà déjà en train de se coucher à terre non sans créer un nuage de poussières particulièrement irritant. Je n'ai pas le temps de me protéger, que me voilà propulser en avant par l'onde de choc. Super. La face la première dans le sol granuleux, j'ai la moitié de ma bouche emplie de cailloux que je tente tant bien que mal de les déloger, frottant ma langue avec vigueur et déclenchant une quinte de toux à chaque mes doigts sont un peu trop près de ma glotte. Lorsque la poussière retombe, je me relève doucement. Je fais quelques pas en avant et je le sens se dérober sous mes pieds. Bordel de merde. Le sol se fend en deux et j'ai beau tenter de sauter le plus loin possible, je trébuche et me rattrape sur le bord du ravin. Je jettes un coup d’œil sous moi. Mauvaise idée, maintenant j'ai la gerbe. J'expire un coup, relève la tête, me propulse en avant et sort du trou dans lequel j'ai failli tomber. Je m'essuies le front. Ok, j'ai compris, la mort me veut à ses côtés et pour de bon cette fois-ci.

« Aby ! ». Cette voix … Je regarde autour de moi, cherchant des yeux la personne qui vient de m'appeler. « Aby, aides moi ! ». Je jettes un œil au bord du gouffre qui s'était précédemment formé. Une femme se tient de l'autre côté, comme elle peut à une barre en fer qui ressort du béton et qui semble dangereusement instable. Ses pieds pendent dans le vide et ses bras faiblissent lentement mais sûrement, ses doigts, un par un se détachant du support qui la maintient en vie. Ses grands yeux gris me fixent, alarmés et effrayés, des larmes s'en échappant. « Maman ! » Je ne réfléchis pas et franchis la distance entre les deux bords de la faille d'un saut légèrement trop court. Je trébuche en atterrissant et me réceptionne comme je peux, roulant sur le flanc, qui vient s'éclater contre le coin d'un immeuble un peu trop pointu. Un bruit ignoble se fait entendre, me faisant vibrer entièrement. Et une côte cassée, une. Sonnée par la douleur, je rampe tout de même jusqu'à l'endroit où se trouve ma mère.

« Maman ! Attrapes ma main ! ». Je tends dans le vide mon bras, les doigts écartés vers elle. Elle continue de hurler mon prénom. « Je suis là ! S'il te plaît, attrapes ma main, je vais t'aider ! ». Enfin, elle lève la tête vers moi et semble soulagée de me voir. Elle détache une de ces mains pour la tendre vers moi. Le bout de nos doigts se frôlent. Mon flanc me fait affreusement mal, mais je fais un dernier effort et m'avance afin de choper deux de ses doigts. Soudain un grondement se fait entendre. Non, non, NON ! Je hurle, voyant ma mère disparaître de ma vue, engloutie dans un éboulement de pierre, qui emporte la barre de fer sur laquelle elle s'accrochait. La faille s'effondre sur elle-même et je me sens me surélever.

Je me réveille, en nage, le cœur battant la chamade. Je me redresse brusquement, le souffle court. Je regarde autour de moi. Des branches barrent ma vision. J'ai encore la sensation de ses doigts dans ma paume. Je dois absolument me calmer. Je ris, nerveusement avant de reprendre mon souffle et en même temps mes esprits. Je suis installée sur un arbre, assise sur un tapis de branche que j'ai tissé pour en faire un lit de fortune et enveloppée dans un duvet, déchiré et troué à quelques endroits. Un cauchemar. Ce n'était qu'un putain de cauchemar. Malgré tout, je ne peux m'empêcher de me recroqueviller, entourant mes genoux de mes bras et calant ma tête sur les cuisses. Quelques branches craquent sous mon poids. Des larmes coulent, chaudes et humides sur mes joues qui elles sont glacées par la fraîche température de la nuit. Je restes comme ça jusqu'à ce que les premiers rayons du soleil se glissent dans la forêt et illumine la vie qui s'y trouve. Lorsque mes yeux arrêtent d'être humides, je passe mes mains sur le sommet de mon crane, lissant au passage quelques mèches de cheveux rebelles. Je garde encore quelques secondes mes paupières fermées, puis, attrape la chaîne de mon collier, accroché à mon cou. A son extrémité se trouve un bijou en forme de cœur. Je l'ouvre doucement et découvre la photo d'un couple, heureux, un enfant en basage dans les bras de la femme, qui est lovée au creux des bras de l'homme. Le visage de celui-ci est légèrement effacé, ne laissant qu'apparaître la partie basse de son visage, un sourire victorieux aux lèvres. Je ne m'attarde pas sur lui mais sur le portrait de la femme. De ma mère. Ses grands yeux gris semblent me transpercer d'une douceur bienveillante. Je souris, malgré moi avant d'apporter le pendentif sur ma poitrine. Chaque nuit, je la retrouve, à travers ces rêves si réalistes. Chaque nuit, je la perds encore et encore. Comme pour me faire passer un message. Comme pour me dire que c'était de ma faute. Qu'elle est morte à cause de moi. Je jettes à nouveau un œil sur le cliché, le visage triste et sombre. Ceci était la dernière photo d'elle vivante, avant qu'elle meurt. La dernière photo où nous étions une famille. La dernière photo où nous étions réunis. La dernière photo où mon père avait le sourire. Avant que l'enfer ne s'installe dans ma vie.

Justicière ... A sa manière


Le soleil vient de se coucher. Quelques rayons échappent encore à la nuit, éclairant l'horizon d'une teinte orangée. Je n'ai fait que marcher et marcher encore aujourd'hui, à travers des montagnes et maintenant à travers un désert. Mes pieds hurlent de s'arrêter du coup, je n'ai pas d'autre choix que de me poser contre un rocher, tout en hauteur, pour y enlever mes bottes. Waouh … Ça schlingue là dedans ! Y'a un rat qu'a crevé ou quoi ? A moins que mes orteils aient pourris. J'arrache mes chaussettes, raides comme des piquets et vérifie qu'il n'y ait pas de signe de putréfaction. Bon. C'était sûrement un très gros rat. Avec le bide percé. Je commence à masser mes chevilles lorsqu'un cri retentit tout près de là. Je grimpe sur le rocher et jette discrètement un regard au loin, en bas de la pente sableuse. Je n'ai pas le temps de réagir que le premier coup de feu brise le silence du désert. Une silhouette féminine s'écroule à quelques mètres de deux hommes en treillis tandis qu'une seconde se rue sur le frais cadavre. Une longue plainte s'en suit pendant des secondes qui me sont insupportables.

Je me raidis tellement qu'au bout d'un moment, mes nerfs lâchent et j'atterris brutalement sur le sol. Alors que les derniers rayons de soleil disparaissent, comme pour ne pas être témoins de la scène d'horreur, une série de hurlements emplit la nuit. La température de mon sang diminue à un tel point que mes bras bleuissent. Le visage et les mains collés contre la surface rocheuse et le regard perdu dans le vague, je vide mon esprit tandis que les sons de détresse s'affaiblissent et que le calme s'installe. Je patiente encore quelques secondes avant de sauter à nouveau en haut du rocher et de jeter un œil. Deux ombres s'éloignent petit à petit de l'endroit où ils étaient précédemment. J’attends que leur distance soit suffisante pour remettre mes chaussettes et mes bottes, descendre de la dune et m'approcher de l'endroit où le drame s'est déroulée. Je découvre alors le corps d'une femme d'une quarantaine d'années sur le ventre, couverte de sang, un trou de balle entre les deux omoplates et le visage recouvert par ses cheveux. A ses côtés, se trouve une gamine d'à peine 16 ans, la tête enfoncée dans le sable et le pantalon sur les genoux. Les enfoirés. Pas même une once de respect. Je me penche vers elle et la retourne. Du sable est enfoncée profondément dans ses narines et sa bouche. Je tente d'enlever le maximum mais peine perdue. Elle doit avoir les poumons et l'estomac remplient. Je reboutonne son haut et remonte son bas. Je constate alors la présence de filets rouges sur ses jambes, qui partent de son intimité et qui viennent zébrer ses cuisses. Mon estomac se tord et je lutte pour ne pas vomir son maigre contenu.

Je décide alors de les traîner jusqu'au rocher derrière lequel je m'étais réfugié et de prendre en chasse leurs assassins. Leur intelligence est si élevée, que les voilà en train de boire autour d'un feu en plein milieu d'une plaine découverte, à quelques centaines de mètres de moi. J'attrape le sniper, malheureusement vide, accroché sur le côté de mon sac à dos, me couche et tend l'arme pour que je puisse les observer dans la lunette. En étudiant d'un peu plus près leurs uniformes, je réalise qu'il s'agit de deux gardes appartenant à l'armée de Praha, . Un rictus de dégoût apparaît sur mes lèvres en constatant leur provenance. Je les regarde savourer leur prise, enchaînant l'alcool qu'ils ont volé aux deux marchandes qu'ils ont buté. Bien que je sois à une distance plus que respectable d'eux, leurs rires gras me parviennent aux oreilles. Je patiente plusieurs heures dans la même position, ignorant le froid qui se glissent dans mes vêtements ou le vent qui me recouvre d'un léger voile de sable. Les voilà à présent endormis paisiblement. Je souris. Quelle chance que je sois passé là, les amis ! Enfin … je dirais plutôt que pour vous … vous êtes dans la merde. Que le jeu commence.

Après avoir attendu encore une bonne heure, pour que les soldats plongent dans un sommeil plus profond et pour que le feu ne soit plus qu'à l'état de braises, je fouille dans mon sac attraper mes lunettes infra rouges, troque mon sniper pour un calibre 9, tout aussi vide, et m'avance vers mes futures victimes. Je m'accroupis près d'un des deux et glisse un de mes doigts sur son visage. Au bout de quelques secondes, le voilà qui gémit et ouvre un œil. Bingo. Je lui assène un violent coup sur le crâne qui l'envoie tout aussi rapidement dans l'inconscient. Je lui ligote les mains avant de m'attaquer au second. Je me jette dessus, le retourne, attrape les menottes qui sont à ma ceinture et les lui passe autour des poignets. Il se met à gesticuler dans tout les sens, cherchant à voir le visage de son agresseur. Je lui enfonce la tête dans le sable. Et, à chaque fois que je le sens s'étouffer, je lui relève la tête. Je continue cette torture jusqu'à ce qu'il perde conscience à son tour.

Alors je me met à chantonner, tout en rallumant le feu qui allait mourir. J’ôte mes lunettes de vision nocturne et va chercher un couteau dans mon sac, que j'avais déposé avant l'attaque, à l'écart du camp. Je vais autour de celui-ci pour y prendre des cailloux et des brindilles. J'en jette quelques unes dans le brasier et construit un petit portoir surélevé, que je place au dessus des flammes. Puis je m'approche de celui que j'ai étouffé et déboutonne son bas. Je découpe ensuite le tissu de son caleçon et attrape son phallus. D'une coupure presque chirurgicale, je lui sectionne le membre et le dépose sur le support en bois que j'ai fabriqué. Je m'éloigne un peu, pour ne pas me faire asperger de sang, bien que lorsque je l'ai amputé, le premier jet est venu m'asperger le visage de son sang. Je lui attache alors les chevilles et m'éloigne un peu lorsqu'une flaque rouge se forme et prend de l'ampleur, à mes pieds. Je le vois frissonner puis reprendre connaissance. Alors, les yeux fiévreux, il comprend que quelque chose ne va pas, et se met a hurler, crachant du sable dans toutes les directions. Je décide d'apparaître près de lui. Il me jette un regard affolé. « Pit.. ». Je ne lui laisse même pas le temps de s'exprimer que j'écrase ma botte contre sa trachée. De violents spasmes parcourent son corps. Je me penche un peu plus et plonge mon regard dans ses yeux injectés de sang. Je hausse lentement des sourcils avant d'esquisser un demi-sourire. « Passe le bonjour à Satan de ma part » dis-je, lui lançant un clin d’œil avant de lui comprimer un peu plus la trachée, le tuant sur le coup.

Alors je me concentre sur le bout de chair qui cuit. A l'aide d'un bâton, je le retourne, et me remet à fredonner. Je patiente jusqu'à ce que la viande soit quasiment carbonisée et ne ressemble plus à ce qu'elle était au départ. Je commence donc à secouer une des cuisses du second ravisseur. Celui-ci grommelle et gesticule lentement. Je plante mon bout de bois dans le morceau de grillade et l'aide à relever son buste. « Manges ». Encore sonné, le soldat ouvre la bouche et commence à mâcher ce que je lui tends. Quand il a fini, j'enlève ma main de derrière son dos et me relève. C'est là qu'il remarque son coéquipier mort de l'autre côté du foyer. « Mais qu'est-ce que ? ». Je le vois pâlir lorsqu'il remarque la tache de sang qui recouvre la moitié du corps et devient vert lorsqu'il comprend d'où cela provient.

« Mais qu'est ce que tu nous as fait !!! ». Il tente de se lever mais je ne lui laisse pas le temps et envoie mon talon vers sa mâchoire. Sa tête part en arrière et un filet de sang sort de sa bouche. Il veut se rattraper, mais avec les mains attachées, ce n'est pas très facile. Je fais le tour de son corps pour me retrouver à nouveau dans son champs de vision et lui assène un coup dans les côtes. Le soldat se plie en deux, posant ses mains sur sa tête, pour se protéger. Je ris et continue à le passer à tabac. Je ne m'arrête que lorsqu'il commence à me supplier. Alors je m'accroupis et attrape sa tête par les cheveux. « Répète ? J'ai pas très bien entendu ? ». L'homme me regarde, avant d'ouvrir la bouche et vomir du sang ainsi que quelques dents. « S'il te plait … Laisse moi la vie sauve … J'ai des contacts, si tu veux de l'or ou de la nourriture, je t'en donnerais, mais par pitié, épargne moi. »

Je soupire, avant de lui envoyer mon front dans son nez. Il hurle. « Dis moi, quand elle t'a supplié de la laisser partir, tu l'as fait ? Attends, je réfléchis … Étant donné qu'elle est morte maintenant, je dirait que tu en as eu rien a foutre. » Le soldat relève la tête les yeux écarquillés. « Mais … mais … Qui es-tu bordel de merde ? ». Je me relève lentement, puis avance ma jambe pour venir écraser une de ces mains.

« Qui je suis ? Je peux te dire ce que j'ai été. Une enfant, avant que l'on me vole mon innocence, la fille de quelqu'un, avant que l'on éclate ma famille, une humaine avant que l'on ne m'arrache le cœur. Puis j'ai été un soldat, que l'on a brisé encore un peu plus chaque jour, une prisonnière, que l'on a torturé jusqu'à ce que mon esprit ne soit plus que l'ombre de lui-même, et enfin livrée à moi-même des années durant, perdant au fur et à mesure le peu de personne que j'ai pu aimer. Mais pour toi ... » J'agrippe son cuir chevelu et commence à le traîner pour me rapprocher du feu, encore vivant, et dont les flammes dansaient fiévreusement. « Je serais la mort ». A ces mots, je plonge sa tête dans les flammes et la maintient malgré la violence avec laquelle elle bouge. Des hurlements résonnent en écho dans l'air pendant de lentes secondes et une odeur de cramé emplit mes narines.

Lorsque les cris et les gesticulations s'arrêtent, je lâche le soldat puis viens m'asseoir un peu plus loin, les genoux recroquevillés et le regard perdu dans les flammes. Je reste dans cette position des heures durant, attendant le lever du soleil. Lorsque les rayons du soleil viennent chatouiller mon dos, je décide de rebrousser chemin. Arrivée au rocher, je commence à creuser avec mes mains. J'y passe la matinée et lorsque je finis, l'astre solaire est bien haut dans le ciel. Alors je sors du trou que j'ai formé et viens y déposer le corps des deux femmes à l'intérieur. Je les allonge sur le côté et fais en sortes de les positionner comme si elles s'étaient assoupis dans les bras l'une de l'autre. Je constate alors que leurs traits se ressemblent énormément. Des larmes viennent me titiller et je viens les essuyer rapidement. Je les recouvre de sable, jusqu'à ce que la tombe que j'ai formé soit remplit. Une fois terminé, je jettes un œil dans le ciel. Je ferme les yeux et me laisse chatouiller par le peu de vent qui souffle. J'attrape alors mes affaires et me remet en route, ne jetant pas un seul regard en arrière. Encore un douloureux souvenir qui viendra hanter mes nuits, encore deux visages à rajouter sur ma liste, celle de ceux que je n'ai pu sauver … Encore un pas supplémentaire vers la folie qui me guettes.

Solitaire

...

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- Abygail Hans -

Abygail Hans
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 19:20


Questionnaire

Auriez-vu cru, autrefois, à la prédiction des mayas ? Les mayas ? Pas besoin de prophéties ou autres légendes dans ce genre pour savoir que l'homme courait à sa perte. Même sans tout ces bouleversements géographiques, on détruisait petit à petit notre terre. Ce n'est que la nature qui reprend ses droits, précipitant juste la chute des humains. Qu'ils aient prédits pour le 22 décembre 2012 ? Soit une malheureuse coïncidence, soit tout simplement un calcul précis et juste. Je ne dirais pas que je ne suis pas superstitieuse, plutôt rationnelle et réfléchie. Tout est une question de temps. Au final si l'on peut déterminer la collision de deux planètes ou l'explosion d'une étoiles, alors pourquoi pas avec le mouvements des plaques tectoniques.

Comment avez-vous vécu la transformation de la terre, les catastrophes ? Personne n'est réellement prêt pour ce genre d’événements. Certains sont plus malins, d'autres chanceux et il y a ceux comme moi, qui ont appris à survivre au cours de leur vie. Au moment où cela est arrivé, cela faisait deux ans que je vivait dans une tribu en forêt amazonienne. Et après ? Disons juste que j'ai beaucoup voyagé ...  

Quelle est votre position face au monde, à la Terre maintenant ? Sourit en coin. Avez vous déjà été au cœur d'une guerre ? Et bien voyez, pour moi, il s'agit d'un géant champ de bataille laissé à l'abandon après la défaite de l'homme face à Mère Nature. Ironique, je trouve. Nous sommes tous ses enfants, et pourtant nous avons décidé de lui désobéir, de nous rebellez et ... elle nous a juste rappeler gentiment à qui nous nous confrontions.  

que pensez-vous du gouvernement qui se met en place ? Vous appelez vraiment ça un gouvernement ? Pour moi, rien de plus que douze cons prétentieux qui se sentent supérieurs aux autres, avec assez d'argent pour se payer une armée et ainsi s'approprier un "territoire". C'est drôle, quand t-on y pense ... Car c'est la seule ville organisée sur ce nouveau continent unique.

comment allez-vous reconstruire la Terre ? L'adaptation. C'est ce que chaque espèce vivante fait inconsciemment, à part l'humain. Et voilà le résultat. Se réadapter à une vie sauvage, une civilisation plus proche de la nature. C'est ce que nous étions avant, au début de l'Homo Sapiens. Certes, plus de confort, plus médecine moderne, plus d'électricité ... Mais ne répétons pas les mêmes erreurs. Une civilisation respectueuse envers le monde et envers soit même ... Tout l'inverse de Praha.



histoire



En construction ( 2% )

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- Noah Atkinson -

Noah Atkinson
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 19:24

BIENVENUE SUR PANGEE Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) 1956902373

N'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit, ma boîte MP est ouverte Wink
Bon courage pour ta fiche !
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- Slavinka Jeken -

Slavinka Jeken
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 19:30

Bienvenue à nouveau Wink

J'ai hate de lire ta présentation.
Encore une fois si tu as des questions n'hésite pas.

Kisouille
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- Illiana Green -

Illiana Green
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 21:13

Bienvenueeeee ma belle !
Je suis contente que tu sois venue ! Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) 4247520666
Je suis pressée de savoir comment tu vas construire ton perso !
On se réserve un lien ! Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) 682886781
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- Slavinka Jeken -

Slavinka Jeken
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 27 Juin - 21:38

Je peux pas m'empêcher de reposter.

Emilia Clarke Smile Je suis une fervante fanatique de Game of Thrones alors dit toi que tu as d'office un lien avec moi Smile
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- Connor Vanderbilt -

Connor Vanderbilt
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyMar 28 Juin - 9:30

Bievenue à toi Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) 2921595817

Contebandier ! Il nous faudra un lien Wink
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- Shaba S. Skyness -

Shaba S. Skyness
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyMar 28 Juin - 14:10

Bienvenuuuue parmi nous !

Oooh j'ai hâte de voir ta fiche complète, rien que le titre me donne envie ** il nous faudra tellement un lieeeen **
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- Abygail Hans -

Abygail Hans
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyMar 28 Juin - 16:14

Bonjour a tous,
Merci pour tout vos petits mots mignons tout pleins !
Je vais faire de mon mieux pour construire mon histoire, en espérant que ça vous plaise ( je préviens que je suis une TAREE et que mon histoire sera de type schizopatate ) !
I love you I love you I love you I love you
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Be safe


- Klyde Scaven -

Klyde Scaven
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyLun 4 Juil - 14:13

Hey,

Je suis le petit dernier. Je suis impatient d'avoir un lien avec toi (parce que oui, je ferais tout pour en avoir un MOUAHAHAHAHAH Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) 850484857 ) J'ai hâte que ta fiche soit terminée, je te souhaite bon courage !

Hope.

PS : Les skizopatates, c'est ma passion.
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- Bishop Lloyd -

Bishop Lloyd
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Avatar : Ian Somerhalder

MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) EmptyJeu 4 Aoû - 15:03

Bienvenue ici!
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MessageSujet: Re: Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé)   Abygail Hans - Ce jour où Petit Soldat brisa ses chaînes (délai accordé) Empty

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